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Interviews James Tynion IV
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enavant123 | Date: Lundi, 19.05.2025, 06:57:13 | Message # 1 |
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| Je suis tombé sur une interview de Tynion IV sur le site du Figaro. Pour les amateurs et les autres.
James Tynion IV, le scénariste de comics qui plonge sa plume dans l’Amérique ultraviolente et conspirationniste : L’INTERVIEW BD - Les thrillers horrifiques The Nice House by the Sea, W0rldTr33, The Department of Truth et Something is Killing the Children comptent parmi les meilleurs comics du moment. Et sont tous signés du même auteur, lauréat du Fauve de la meilleure série 2024.
Le lien
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Le message est modifié enavant123 - Mardi, 15.07.2025, 17:07:04 |
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Pandalf | Date: Mardi, 15.07.2025, 09:04:35 | Message # 2 |
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| Je voulais créer un sujet pour une interview de Tynion dans Le Monde (réservé aux abonnés) mais je vois qu'il existe un sujet pour une autre interview. Je pose donc ça ici (peut-être changer le titre du sujet en "Interviews James Tynion IV", ou virer mon message dans un autre sujet, je laisse les admins décider)
https://www.lemonde.fr/culture....46.html
James Tynion IV, scénariste de comics : « L’horreur me permet d’explorer les parties de mon esprit que je n’aime pas »« Dans ma bulle ». L’auteur du très remarqué « The Nice House on the Lake » a donné une suite à sa série, « The Nice House by the Sea », dans laquelle il continue de décortiquer les comportements humains, les relations sociales et notre monde.  Pour qui s’intéresse aux récentes productions de comics, James Tynion IV est un nom qui coiffe les couvertures des albums américains parmi les plus enthousiasmants de ces dernières années. Notamment parce que ses scénarios, teintés d’horreur, offrent une plongée originale dans la psyché humaine et nos sociétés malades. Son succès The Nice House on the Lake (Urban Comics, 2023), qui a gagné en 2024 le Fauve de la série au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, raconte comment un groupe d’amis réunis dans une somptueuse villa par Walter, un comparse intrigant, apprend qu’il est en fait sélectionné pour survivre à la fin du monde. « J’aime écrire sur l’Apocalypse, du moins j’aime lire sur le moment précis où tout s’effondre », explique le récipiendaire de plusieurs prestigieux prix Eisner, lors de son passage à Paris, fin avril, dans les bureaux de son éditeur. « Notre vision de l’Apocalypse a radicalement changé depuis l’apogée de la guerre froide. Il ne s’agit plus vraiment de penser que des bombes vont tomber, ni à ce qui arrivera à la société après », argumente-t-il. « Ce que je trouve vraiment fascinant, c’est qu’il existe de nombreux autres chemins vers des plus petites apocalypses telles que nous pouvons le voir dans la société actuelle », ajoute l’auteur de 37 ans, venu défendre la sortie de The Nice House by the Sea, qui complète le diptyque, toujours épaulé par le dessinateur Alvaro Martinez Bueno et la talentueuse coloriste Jordie Bellaire. Il y conte les mêmes événements, mais dans une demeure différente, où les survivants ont été regroupés par un autre hôte, Max, qui n’a pas du tout fait les choses comme Walter. Le point de bascule dans l’ordre mondial a déjà servi de carburant à James Tynion IV pour écrire The Department of Truth (Urban Comics, 2022), dans lequel un agent fédéral spécialiste des mécanismes complotistes va voir ses certitudes mises à mal après être approché par le très verrouillé département des vérités, qui donne son nom à la série. Le titre fait résolument écho à l’ère Trump, qui l’inspire autant qu’elle l’inquiète. « C’est la série dans laquelle je parle le plus de l’Amérique, de la politique et de la façon dont les gens manipulent l’information », affirme l’auteur. Celui-ci s’intéresse, entre autres, aux éléments économiques, sociaux et culturels qui façonnent la perception actuelle du monde, aux magnats, y compris de la tech, mais il introduit aussi dans ses œuvres une solide culture Web. Elle est, par exemple, centrale dans W0rldtr33 (Urban Comics, 2024), dans lequel un groupe d’amis tente de combattre l’Undernet, espace Web néfaste et violent. « J’ai été très tôt adepte des plateformes sociales en ligne. J’y ai trouvé un grand esprit de communauté et j’avais une vision presque utopique de ce que la technologie pouvait apporter au monde. Mais ils ont commencé à prendre une tournure plus négative, j’en ai été affecté. Cela a coïncidé avec le moment où je suis devenu une figure un peu plus publique », détaille James Tynion IV. Il estime aujourd’hui qu’il n’a pas « besoin de partager toutes les pensées qu’[il a] » et ne veut pas « que quelqu’un qui détient les boutons d’un algorithme dans la Silicon Valley » contrôle ce qu’il pense. Mystérieux personnagesLe scénariste se plaît aussi à mettre au centre de ses récits des personnages nébuleux ; Walter et ses lunettes opaques en sont la parfaite représentation. « Tous portent en eux des morceaux de moi, c’est peut-être révélateur du fait que je me perçoive comme une figure nébuleuse. Ils sont animés par une motivation authentique, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’elle soit bienveillante, confesse Tynion. Nombre de ces personnages sont des versions exacerbées de moi-même, dans des versions complètement amorales et amplifiées. » Cet attrait pour les protagonistes énigmatiques s’étend aux relations sociales, qu’il détricote minutieusement dans The Nice House on the Lake, tout comme la psyché de chaque membre de son casting. « J’ai toujours été fasciné par la dynamique sociale et la façon dont les groupes interagissent. J’ai fait partie de nombreux groupes d’amis où j’étais souvent à l’initiative des événements et rassemblais tout le monde », se remémore celui qui a façonné Walter et ses comparses en s’inspirant de ses propres relations. « En fin de compte, j’essaie de raconter une histoire sur la façon dont les relations grandissent et changent au fil du temps, sur comment une amitié, née quand les protagonistes adultes avaient 16 ans, ne fonctionne plus », ajoute-t-il. « Mon thérapeute avait beaucoup à dire lorsqu’il a lu Nice House », glisse-t-il dans un éclat de rire.  C’est dans « une ville de contradictions », Milwaukee (Wisconsin), que le scénariste a grandi après sa naissance à New York, en 1987. « L’anticommuniste Joseph McCarthy était sénateur de l’Etat du Wisconsin et, au même moment, Milwaukee avait un maire socialiste. La moitié des habitants votaient pour les deux en même temps. C’est inhérent à cette ville. » Fils d’une publicitaire et d’un avocat, James Tynion IV développe : « J’étais un garçon queer dans les années George W. Bush, et j’étudiais dans un lycée catholique réservé aux garçons. C’était difficile, mais Milwaukee était aussi une ville qui organisait un festival annuel des fiertés. » Un environnement qui lui a donné les clés pour évoluer à la fois « dans un milieu étroit d’esprit et un autre plus ouvert ». L’auteur a fait son coming out bisexuel auprès de ses lecteurs sur Tumblr en 2014. Fiction de genreSa famille l’a encouragé à poursuivre sa voie artistique, mais c’est son père qui est à l’origine de sa passion pour la BD. « L’un de mes premiers souvenirs, c’est celui où il m’a emmené, enfant, dans une boutique de comics à New York. Tout me paraissait grand et coloré, je ne comprenais rien. Je me souviens avoir vu une illustration de Spider-Man par Todd McFarlane, et j’ai trouvé ça terrifiant, j’en ai fait des cauchemars ensuite. » S’il aime raconter des histoires depuis tout jeune, la lecture de Sandman, de Neil Gaiman, à 15 ans, lui donne envie de faire carrière. « J’ai compris que les histoires qui m’intéressaient le plus pouvaient être racontées en bande dessinée. Et ça a complètement changé ma vision des choses. » Il choisit d’ailleurs de retourner à New York pour étudier au Sarah Lawrence College, réputé pour son cursus d’écriture. « Il y avait un jeune professeur qui, à l’époque, n’avait écrit qu’un recueil de nouvelles de genre. Je me suis rapproché de lui, car les autres professeurs ne savaient pas vraiment que je prenais l’écriture au sérieux, ne savaient pas quoi faire avec quelqu’un qui voulait écrire de la fiction de genre. Lui, si. Il s’appelait Scott Snyder. » Celui-ci n’est autre que l’auteur de la BD American Vampire (Urban Comics, 2020) mais aussi l’un de ceux à qui l’éditeur DC va confier, au début des années 2010, la responsabilité d’écrire des aventures de Batman. Son mentor le fait entrer à 24 ans dans la maison pour collaborer sur des histoires courtes de la chauve-souris, une tâche rarement confiée à un « bleu », mais dans laquelle Tynion se révèle. Il va trouver la possibilité de publier en parallèle de grosses licences (Justice League, Hellblazer…) des histoires personnelles et originales. Ainsi paraît The Woods (Ankama, 2016) en 2014 ou encore Something Is Killing the Children (Urban Comics, 2020), sur une énigmatique tueuse de monstres, qui va permettre à Tynion de connaître davantage de succès et de se consacrer à une production plus indé.  Il cultive avec son ami Scott Snyder le même goût pour la SF, l’horreur et de l’admiration pour le maître du genre, Stephen King. Omnivore, il convoque aussi volontiers dans ses influences Michael McDowell, Clive Barker, mais aussi plus largement Agatha Christie, le compositeur de comédies musicales Stephen Sondheim, les comics du label Vertigo (DC Comics) des années 1990 et 2000 ou encore des auteurs de mangas comme Naoki Urasawa. Mais « ce que j’aime le plus dans l’horreur, c’est qu’elle me permet d’explorer les parties de mon esprit que je n’aime pas, les aspects du monde que je n’aime pas. Ensuite, je peux amplifier tous ces éléments et les transformer en une œuvre de fiction passionnante ! » Dans sa bulleSa première BD lue : « C’était un numéro de X-Men Adventures |Marvel], la bande dessinée des années 1990 dérivée de la série animée. J’ai oublié quel numéro, mais Mojo était le méchant principal. J’avais entre 5 et 7 ans. » Sa dernière BD lue : « J’ai vraiment beaucoup aimé la nouvelle série Assorted Crisis Events, de Deniz Camp, Eric Zawadzki et Jordie Bellaire [Image Comics, 2025]. C’est un récent premier numéro vraiment incroyable. » Sa BD de chevet : « Evidemment, j’ai 10 réponses en tête mais je vais opter pour Strangers in Paradise, de Terry Moore [Delcourt, 2017]. » Ses objets fétiches : « J’écris entouré de tous mes livres. Pas seulement des livres que j’ai écrits, mais de toute ma bibliothèque. Je pense que j’essaie de canaliser la puissance de tous les ouvrages qui m’ont inspiré et de voir si quelque chose déteint. »
Le message est modifié Pandalf - Mardi, 15.07.2025, 09:05:18 |
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artyguydon | Date: Mardi, 15.07.2025, 09:39:07 | Message # 3 |
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| Merci.
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artyguydon | Date: Mardi, 15.07.2025, 09:55:43 | Message # 4 |
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| À peine parcourue pour l'instant, mais en lisant ça :« Le titre [The Department of Truth] fait résolument écho à l’ère Trump, qui l’inspire autant qu’elle l’inquiète. "C’est la série dans laquelle je parle le plus de l’Amérique, de la politique et de la façon dont les gens manipulent l’information ", affirme l’auteur. ». Très bien. Étonnamment, sous le mandat de Biden, président dont on pouvait s'interroger sur ses capacités intellectuelles & cognitives, James Tynion n'a pas eu l'idée d'écrire cette série.
Idem, lorsqu'il parle de McCarthy ; Tynion « oublie » ce qui se passait alors en URSS. Quel Tartuffe.
Cela dit, merci encore, je vais lire ça de très près.
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CopperSurfer | Date: Mardi, 15.07.2025, 09:57:50 | Message # 5 |
 Sorcier suprème
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| Je n'ai pas lu grand-chose de lui mais j'ai évidemment beaucoup entendu parler de Something Is Killing the Children et The Nice House on the Lake ces dernières années… J'ai toujours hésité à y aller, dès qu'on me bassine trop avec un truc, j'ai tendance à le fuir…  Pourtant j'adore l'horreur, je devrais peut-être m'y mettre – le m'sieur cite de belles références en plus (bon, quoi que classiques, j'ai l'impression qu'ils donnent tous Stephen King un peu par défaut)…
Merci pour le partage de l'interview, Pandalf !
Le message est modifié CopperSurfer - Mardi, 15.07.2025, 10:00:32 |
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Pandalf | Date: Mardi, 15.07.2025, 11:02:27 | Message # 6 |
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| Pour Something Is Killing the Children, je suis très fan, autant du scénario que des dessins, couleurs.
Effectivement, ça peut ne pas plaire à tout le monde, chacun ses goûts. Lis un ou deux issues, tu verras bien 
artyguydon La série date de fin 2020 et se poursuit sur 2021, on est donc en plein sur les mandats Trump/Biden, avec chacun leur manipulation des faits il me semble.
Le passage sur McCarthy fait référence aux votes des habitants de Milwaukee qui votaient pour un sénateur anticommuniste et un maire socialiste, soulignant une fois de plus l'ambivalence des gens. Je ne vois pas trop le rapport avec l'URSS.
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artyguydon | Date: Mardi, 15.07.2025, 11:27:33 | Message # 7 |
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| S'agissant de The Department of Truth, ce n'est pas moi qui le dit ! « Le titre fait résolument écho à l’ère Trump, qui l’inspire autant qu’elle l’inquiète. ».
S'agissant de Joseph McCarthy ; d'une part je ne vois aucune ambivalence puisqu'il était, nous dit Tynion, « sénateur de l’Etat du Wisconsin » alors qu'a même moment « Milwaukee avait un maire socialiste. ». En France par exemple, le président du conseil départementale de l'Isère est un LR, et le maire de Grenoble est EÉLV/LÉ S'agissant de « La moitié des habitants [qui ] votaient pour les deux en même temps. », j'aimerais bien avoir ses sources.
Pour l'URSS enfin, si McCarthy était anti-communiste, c'est qu'à ce moment là, mais aussi avant, et aussi ensuite, l'URSS n'était pas une démocratie. Ce que semble oublier Tynion. Et voir citer cet exemple est assez spécieux. Il n'y avait rien de plus récent qui lui aurait paru exemplaire ?
McCarthy est essentiellement cité en mauvaise part, il y a même un chrononyme qui lui est dédié la « chasse aux sorcières », que Tynion, un progressiste pur jus, le cite, ce n'est pas anodin. D'autant que son raisonnement est foireux.
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Pandalf | Date: Mardi, 15.07.2025, 11:38:52 | Message # 8 |
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| Tu as lu l'article ? J'ai des doutes.
La série date du premier mandat de Trump, Biden était candidat et non président. Il parle de son enfance à Milwaukee où .... McCarthy était sénateur ! Toujours pas de rapport avec l'URSS.
En fait, il est "progressiste" donc ça ne te va pas ?
Il aurait dû naitre en 2021, écrire sa série en 2024 et prendre Biden et les écolo-terroristes comme inspiration ?
Tout ça pour un article sur un auteur de comics ... je dois supprimer mon post ?
Le message est modifié Pandalf - Mardi, 15.07.2025, 11:55:28 |
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artyguydon | Date: Mardi, 15.07.2025, 12:41:00 | Message # 9 |
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| Citation Tout ça pour un article sur un auteur de comics ... je dois supprimer mon post ?
Je ne sais pas, qu'en penses-tu ?
Tu publie sur un forum un article, je te remercie de l'y avoir posté, et je commente ce que dit ce scénariste. Je ne vois rien d'étonnant.
En effet je pense que les progressistes (attention faux-ami) détruisent, d'une manière générale, la culture pop. Le gauchisme culturel est une plaie, Tynion en est un représentant.
Et si je n'aime pas ce qu'il fait, c'est parce que j'ai lu son travail, ni ce qu'il dit (ça va souvent de pair) ; je me permets donc d'en faire part sur un forum. C'est d'ailleurs l'essence du forum.
Il n'avait jamais été question de supprimer quoi que ce soit. Cela dit, je saurai dorénavant que tu es trop fragile pour qu'on discute de ce que tu postes, et je m'en abstiendrai.
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Pandalf | Date: Mardi, 15.07.2025, 15:10:01 | Message # 10 |
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| Ne te censure pas, ne sois pas fragile
Tu as effectivement raison, c'est l'essence d'un forum d'avoir une discussion. Mais quel intérêt de dérouler ton dégoût pour l'auteur en tirant des mots par ci par là d'un article en faisant abstraction de la globalité.
Il parle de son enfance, tu déroule ton narratif sur le méchant communiste, je ne vois toujours pas le rapport.
Tu sembles parler d'un autre article que je n'ai sans doute pas lu. Éclaire donc ma lanterne.
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artyguydon | Date: Mardi, 15.07.2025, 15:55:46 | Message # 11 |
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| James Tynion est né en 1987, McCarthy était alors mort depuis 30 ans. Je ne vois pas ce que ça vient faire dans le déroulement de son enfance ?!
Au sujet de l'URSS, tu n'es pas sans avoir que cet empire a été le laboratoire à ciel ouvert, mais aux portes fermées, du communisme d'état. Donc, parler de McCarthy, en signalant qu'il est anticommuniste (ce qu'il était par ailleurs), c'est parler de l'URSS. Et faire un parallèle avec un maire socialiste, probablement Frank Zeirdler, est assez fantasque. D'autant que le Zeidler en question affirmait s'être « distancié des croyances du communisme, en particulier du communisme lié d'une manière ou d'une autre à l'Union soviétique ». Donc soit Tynion ne connait pas bien l’Histoire de son propre pays, soit il raconte des conneries.
Mais là n'est pas la question.
En quoi, en effet, est-il pertinent de citer Joe McCarthy en 2025 ?
Cela dit, je ne vais pas passer les vacances là-dessus.
Ah si, ce n'est pas du dégout que j'éprouve pour le travail de tous ces progressistes en chemise brune à fleurs, mais de la haine. Comme je l'ai déjà dit, ce qu'ils font sape des pans entiers d'une culture de masse que j'aime. Et ce n'est pas eux, en tant qu'individus, mais leur travail, leurs propos, qui m'horripilent.
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